Les risques en France :

La France est exposée à tous les aléas naturels :

  • en métropole : aux inondations, sécheresses, tempêtes,
  • dans les îles : cyclones, volcans et séismes.

Il y a aussi des risques technologiques et nucléaires majeurs et certains aléas sont sous-estimés.

La concentration d’Hommes et d’activités augmente la vulnérabilité de la France ; le changement climatique accentue l’intensité des aléas. De plus, les catastrophes d’origines naturelles ont des coûts importants.

La prévention des risques est en développement en France car la gestion des risques évolue. Une transition environnementale s’amorce grâce à une politique d’adaptation et à de la résilience.

Des milieux diversifiés, depuis longtemps mis en valeur :

La diversité des milieux en France métropolitaine et dans les territoires ultramarins :

La métropole française possède sur son territoire une variété de climats tempérés et de reliefs (plaines, montagnes…).

Les territoires ultramarins possèdent des climats tropicaux et équatoriaux ainsi que des reliefs contrastés avec ceux de la métropole (volcans, coraux).

Une mise en valeur ancienne :

Tous les territoires français ont été marqués par l’homme à l’exception de la forêt guyanaise. La moitié de ce territoire est dédiée à l’agriculture ce qui entraîne cependant des causes négatives sur l’environnement comme la pollution des sols, des nappes phréatiques, menace de la biodiversité…

Le tourisme balnéaire se développe grandement au XIXe siècle et va donner lieu à la valorisation des littoraux. C’est pour cela que dans les années 1960, la France crée plusieurs stations balnéaires comme la Grande Motte pour inciter les voyageurs venant du Nord et allant en Espagne à rester en France.

La pratique des sports d’hiver a connu le même développement que le tourisme balnéaire mais les conséquences de ce tourisme de masse nous fait réfléchir à l’exploitation des montagnes.

Des acteurs et outils d’une gestion durable des milieux :

Les milieux de France ont grandement changé au cours des 50 dernières années et cela s’est traduit par la mise en place de restrictions et de politiques de protection de l’environnement :

  • au niveau régional et national (parcs nationaux, naturels, etc.),
  • mise en place de lois : loi montagne en 1985 et loi littoral en 1986 pour réguler la quantité de constructions dans certaines zones,
  • à l’echelle européenne (projets de développement, aide de l’Union européenne),
  • au niveau mondial : signature de conventions internationales, engagements…